Gestion des forêts
En à peine un an, ce forestier a subi des pertes financières liées au vol de bois se chiffrant en millions d’euros. Pour résoudre ce problème il a dans un premier temps fait appel aux services d’une société de sécurité mais celle-ci n’était pas en mesure de surveiller l’ensemble du périmètre forestier à un prix raisonnable. Le forestier s’est donc mis en quête d’une solution technologique lui permettant de résoudre ce problème et l’a finalement trouvée auprès d’ENAIKOON.
En seulement trois mois, ENAiKOON a élaboré un nouveau module de géolocalisation pour la surveillance des piles de bois : l’ENAiKOON locate-18.
La solution se compose d’un ensemble de batteries puissantes, d’un capteur de vibrations réglable, d’un récepteur GPS pour la géolocalisation du bois, ainsi que d’une carte SIM pour la transmission des informations par le réseau GPRS
L’ensemble est protégé par un tube en plastique de 17 cm de longueur et de 4 cm de diamètre
L’entreprise forestière a percé des trous dans certains rondins, pour y insérer des modules ENAiKOON locate-18, en activant au préalable le capteur de vibration.
Puis, elle a dissimulé les trous en les recouvrant d’un disque en bois et a déposé un rondin de ce type dans chaque pile.
Dès que l’un des rondins équipés était déplacé, le module de géolocalisation envoyait une alerte au serveur et activait l’envoie d’e-mail à la société de surveillance. Avant d’envoyer une pile de rondins à la scierie, l’entreprise chargée de la surveillance en était informée et venait retirer le module.
Peu de temps après leur installation, les modules ENAiKOON locate-18 ont permis de dévoiler le système mis en place pour voler le bois de l’exploitation. Les chauffeurs, employés par le forestier pour emporter le bois coupé, prenaient plus de rondins que prévus et apportaient le bois volé à la même scierie que celle qui recevait les livraisons habituelles. L’investissement s’est donc révélé très rentable pour le forestier : les vols de bois ont cessé et les voleurs, ainsi que leurs associés de la scierie, ont été jugés par un tribunal.